La Voix de la FIJ, Juillet 2018 - Un mot de notre président

Afin de défendre les droits des journalistes, la FIJ ne peut agir seule. Il nous faut galvaniser la force de tous nos syndicats et associations affiliés, ces organisations qui luttent quotidiennement pour défendre les journalistes et le journalisme.

Unissons-nous! Afin de défendre les droits des journalistes, la FIJ ne peut agir seule. Il nous faut galvaniser la force de tous nos syndicats et associations affiliés, ces organisations qui luttent quotidiennement pour défendre les journalistes et le journalisme. Nous avons vu l'illustration de cette force dans l'unité lors de la réunion du comité executif de la FIJ à Taïwan.  Nous avons pu constater les efforts fournis par notre affiliée taïwanaise afin d'aider les journalistes à faire face à de multiples défis mais également afin de recueillir le soutien mondial des journalistes pour les aider dans leur lutte. Afin d'être pleinement efficace, la défense des droits des journalistes exige des syndicats plus forts que jamais, et cela passe par des liens solides entre les syndicats et leurs membres, entre organisations de journalistes au niveau national, entre syndicats d'un même continent et également entre la FIJ et ses organisations régionales. Alors que commence le compte à rebours qui nous mènera au congrès de Tunis, l'unité doit être notre mot d'ordre. Philippe Leruth Président de la FIJ