Panama Papers : la mise en cause de dirigeants chinois entraîne une censure de l’information

La Fédération internationale des journalistes (FIJ) critique fortement la répression et la censure continues des nouvelles principales imposées par le gouvernement chinois, à la suite de la publication des « Panama Papers ». La FIJ exhorte le gouvernement à mettre fin aux restrictions qui touchent les médias et la liberté d’expression, qui continuent d’entraver la liberté de la presse en Chine.

Début avril, plus 11 millions de documents détaillant l’utilisation de fonds offshore dans des paradis fiscaux tels que les Îles Vierges britanniques, ont été divulgués d’une manière anonyme auprès du Consortium international des journalistes d'investigation (International Consortium of Investigative Journalists ICIJ). L’ICIJ a ouvert une enquête d’envergure internationale, désormais connue sous le nom de « Panama Papers ». Les documents dévoilent les fonds offshore de 12 anciens ou actuels hauts dirirgeants mondiaux, y compris des membres de l’élite du Parti communiste chinois. Des proches du Président Xi Jinping ainsi que huit autres membres du Parti communiste, y compris des membres du Comité permanent du bureau politique ont été cités dans les Panama Papers.

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